THEORIE DE LA CONTORSION

Hier soir, je suis entrée à la Sorbonne. Pour assister à un concert de jazz, ouh la, on va pas s'emballer hein! Et puis ça ne passait pas dans le grand amphi, mais dans l'amphi Richelieu. ça reste impressionnant. 
Le truc vraiment chouette, c'est que j'ai pu me balader partout pour prendre des photos. Evidemment, il y avait d'autres photographes, plus pros, ou du moins avec matériel plus... comment dire... euh... avec des gros zooms, quoi! Et une facheuse tendance à se mettre dans le champ des autres en prenant des poses. Non parce que c'est vrai hein, la qualité de la photo dépend énormément du taux de contorsion du photographe, c'est le premier truc qu'on t'apprend en école de photo.
Celui-ci était particulièrement discret avec sa veste de Briton, sa malle de voyage et ses 2854 objectifs. 

(à la trompette, Rasul Siddik, sublime)

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2 PRINTEMPS 2014

Je ressors la bricole

FLOU

C'est pas si facile de se remettre à bloguer après une si longue coupure. C'est comme reprendre l'entraînement d'un sport après une fracture. Enfin j'imagine, parce que le seul sport que je pratique assiduement, c'est de chercher des formes de chameau dans les nuages et c'est pas avec ça que je vais me faire un claquage, pas même une foulure de neurone. 
J'ai relu les archives de ce blog et pas indice, rien, le flou: je n'arrive pas à retrouver comment je faisais pour déblatérer (et donc me taire) autant et aussi régulièrement. 
Autant chercher une aiguille dans une botte de foin. M'enfin parait que yenadéki auraient des recettes... 

(on dirait bien que je sais toujours utiliser le running gag)